Stephan Erick

Actuellement, accosté à Cannes, collé à l’écran de sa télévision qui révèle au large visiteur, l’entremise du festival de Cannes 2023.

Ici, Paris aussi, au téléphone, sa combinaison gagnante est l’écriture journalistique et de nouvelles. Nous pouvons citer déjà par ordre croissant dès le matin au petit café du coin de rue ou ruelle.

Le premier ouvrage s’intitule « L’insoumis » au édition Le Livre Actualité, avec ce certain Matthieu Paulo. Qui inventa son premier auteur et lectorat dudit Stephan ERICK, le second livre « Sous-Jacent » aux Éditions du net, et le troisième « La balle perdue » et maintenant « Le pendu de Fontainebleau » qui vient juste d’être publié par la même maison d’édition que son précédent. Ces livres s’adressent à un lecteur averti, et sonnant ou trébuchant la tirelire et tirant le cochonnet.

Il fût un Graphique Designer et photographe freelance, ainsi intéressé par la musicologie, et les interprétations et spectacles de rues. Sur sa lancée funeste et rouge écarlate sortant de son bain de mer hebdomadaire, avec ce soleil tapant la lucarne d’un coin de la plage Pablo Picasso, en l’hommage de sa mort, il y a 50 ans, le 8 Avril 1973 à Mougins. Le peintre, dessinateur, sculpteur et graveur espagnol avait passé l'essentiel de sa vie en France.

Stephan Erick, bilingue Français-anglais, s’indigne devant les guerres de pouvoir et mène sa propre politique de l’autruche face aux tortionnaires de l’esprit, et de la Sainte pensée !

Nous entrâmes à travers ses romans dans le monde de la connaissance et du savoir journalistique, et littéraire. Traversant les âges de pierre et roc rocailleux des régions parcourues à vol d’oiseaux.

Cette perte d’empathie en rapport avec ses lecteurs et lectrices lui font suivre et servent ses objectifs, ainsi qu’une ligne éditoriale. Les œuvres et la teneur des textes de l’auteur n’y résident qu’en français !

L’arbre porte ses fruits à la bonne saison, avec un risque d’éclosion précoce. On n’y trouve et retrouve des nouvelles politiques, et économiques, avec le sarcasme lié à la conjoncture en l’état de faits et gestes ! L’indulgence n’a plus lieu d’être, quant à la rigueur professionnelle de ses articles, par exemple, celui au sujet de Wilfred De’Ath, ce reporter-chroniqueur-nouvelliste qui l’introduit depuis ces dernières années dans la sphère médiatique de la presse écrite anglo-saxonne.

Originaire de la banlieue parisienne, plus précisément les Yvelines, il s’aventurait déjà dans les catacombes parisiennes et de banlieue, comme celles de Saint-Germain-en-Laye ! Il se forma aux arts graphiques, et à la photographie journalistique (reportage et publicité), après un court séjour dans les journaux hebdomadaires des Meilleures Editions, à Paris, rue de la Tour, il s’installa dans un deux pièces à Paris, puis partit étudier l’anglais usuel et technique à Londres, pendant une année.

Il revînt à Paris et se fît salarié comme adjoint du directeur artistique de Bandaï Europe, en qualité de Graphic designer bilingue anglais, et en charge des traductions des textes imposés par la direction Européenne. Il a aussi conçu une déclinaison graphique pour « Carrément » revue écolo qui se situait rue de la Gaîté à Montparnasse.

Après plusieurs voyages en Europe, il prit la décision de vivre en province, en Suisse où il vécut pendant cinq années. Il travailla à Typactif, à Lausanne ! Il eut le plaisir de rencontrer des célébrités comme l’écrivain Abel Tyveet, scénariste et metteur en scène et l’artiste anglais (chanteur) Bruno Wizard. Équipé d’un MacBook Air, il arpente les montagnes de la presse et de la linguistique, avec pour seul objectif : l’expression linguistique ! Je suis dans l’attente d’une critique au sujet de mes articles, comme il se doit, et j’en prendrai note. Dans l’attente de vous entendre et de vous lire et voir, recevez mes sincères salutations et admirations.

Articles par Stephan Erick

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