Depuis que la balustrade du Panthéon anime les esprits et les morts, nous versâmes dans la candide noirceur du crépuscule ! Ceci n’explique pas tout, c’est seulement révélateur d’un malaise social et de gouvernail. La pipette administrative liée à la conjoncture et à l’alter-égo ! Nous relisons les mêmes faits qui marquent au fer rouge, les braises de l’emploi !

Battant pouvoir et politique, l’influence des journaux et médias locaux ne s’interrompent nullement dans le viseur des caméras et des visionnaires. Vice et versa, qui trépigne sur un pied et l’emphase des parlements européens à propos de Maastricht et des 27 pays incluant la France dans ce portique balançant.

Ce qui ne nous arrive pas, et sûrement aux autres, ne sont que fuguasses rancunes ou querelles intestines ! La nomenklatura ne le précise pas ou la lève avec soupçons. Cela est équivoque et maladroit d’en parler et de se pendre à une corde raide. La justice tranchera, certes il nous reste l’embarras du choix ou un avenant verdict de société, avec un jury public.

Cette année 2022, ce livre marqua les esprits venant d’un style et plume de femme de lettres Brigitte Giraud, le titre du livre « Vivre vite », chez Flammarion. L’autrice était en dédicace à Brive-la-Gaillarde, au Salon du livre ! Nous imposassions déjà son œuvre littéraire à travers ce document et l’écrit relaté par les télévisions lors de ce dédale planétaire. Très en avance sur nos consorts et de l’amical, nous poudrions d’escampette, après ce cliché étincelant de toutes les merveilles du monde, ce portrait tout craché, comme le venin d’une vipère ! Ce long corps trébuchant sur le macadam ou le bitume saccade l’ambiance bon enfant. Ce n’est que la déflagration d’un immeuble dans le 5ème arrondissement de Paris, une école de Design touchée par les flammes et par des explosions à répétitions, le sinistre nous fait déjà un bilan succinct des blessés ou morts par ce fait de société ! Les sirènes nous ont déjà alertés, et les badauds et le voisinage scotchés à leurs fenêtres restent perplexes, quant à l’odeur et la provenance de ce cataclysme urbain ou parisien.

Les politiques s’indignent fortement de ce désastre dans la capitale parisienne ! Est-ce du terrorisme ou juste une fuite de gaz ? Les experts en la matière nous apporterons leur rapport sur la cause de ce drame.

Revenons en au Goncourt, l’état de grâce ou l’apothéose pour Brigitte Giraud, elle ne croyait pas que ce livre qui inspire tant de lecteurs remporte le prix Goncourt, et non Quai de la brume, comme l’indique en titraille cet article. Ce voile porté haut en couleur pour les éditions Flammarion, qui a bien mené sa barque en naviguant d’un auteur à l’autre ! Certes, ce n’est l’entrain de la révolution littéraire qui transforme les éditeurs au fil du temps.

L’oiseau fait son nid douillet, sur la branche d’arbuste qui se trouve propice à l’éclosion des œufs en toute sûreté, certes ce n’est point le préambule de « Vivre vite » et aussi d’Amélie Nothomb à qui il arrive de vendre plus de 300 livres en un seul salon. La providence de Tarik Ramadan qui retrouve la liberté, après sa marque de fabrique littéraire et religieuse dans l’exercice de son pouvoir manipulateur, entre prophète et écrivain, il espère toujours se voir innocenté par la justice dans des affaires de viols et de polygamie !

Souvent, la célébrité prend une forme de culpabilité dans bien des cas probants, tous des harceleurs ou bien des homos, si je puis me permettre, je vous dresserai un portrait d’un artiste qui ne purge aucune peine, seulement victime de sa vie, il arrive à joindre les deux bouts, ses qualités de chanteur nous font tourbillonner au lieu de danser le pogo ! Punk à 73 ans, de vie en marge de l’industrie musicale, lui qui fût « the rejects », devenu « The homosexuals » avec ses films documentaire et son art de vivre ! Vous trouverez toutes les infos le concernant avec Wikipédia en version anglaise, sous le nom de Bruno Wizard, the lone star.).

Bien entendu, la ligne éditoriale où politique nous accapare les meilleurs et les plus célèbres écrivains, ceci étant la marge du cahier de note est bien rempli et nous ratâmes les moins connus, mais pas les pires auteurs de roman et recueil, ainsi que les mémoires de famille, et les correspondances entre les lignes du parchemin qui réconcilie les uns et les autres dans leurs voyages.

Tristement, nos enclaves de lectures tombent à pic et reprennent du poil à gratter, tant et si bien que cela démange tout le monde de lire le Goncourt « Vivre vite ». Dépêchez vous, car le prix reste le même, mais pas la quantité !