Titre à titre, pour ne pas dire, par à-coup l’interruption éteinte de ses albums en vente dès sa naissance musicaliste !

Parachever sous la pluie avec un parapluie d’automne ou d’hivernation le long de toutes ses années mélancoliques et audacieuses dans les chartes américains et anglais et la symphonie délirante de ses morceaux au son délicat !

La souffrance de la revoir maquillée en veuve musicale ou au parloir d’un parfum odorant et sonore, comme le bruit du filtre d’une cigarette encapsulé au goût mentholé !

Sa symphonique et absorbante musique et vidéos de ses appartenances avec une différence sans clivage musical.

L’ardente parole de touche aux refrains fredonnés dans les cours d’écoles, nous berçant depuis notre tendre enfance !

L’impitoyable monde comme une déferlante de troupe ou de troubadour nous intime dans sa candeur.

Ses désirs et volontés de combattre la concurrente Taylor Swift, qui parle de milliards de dollars déjà encaissés, la première aux USA Swift, ne shift pas, son inclinaison à faire vibrer son public avec sa finition de chanteuse foudroyante comme un éclair apparaissant telle une constellation cosmique et pour ne pas dire drôle ou bizarre, elle sou-poudre son ambivalence entre perdre et gagner la face dans l’étiquetage politisé ou polarisé par un vieil appareil photographique !

Kate Bush, s’embrase et flambe son décor et ses laconiques jeux de scène, derrière un spectacle devenu adepte de son show.

Cette désertisation de musique de cette série de stars issues des années 70’s ou 80’s parfument encore la plénitude silencieuse de l’appareil musico-sonore et pittoresque dans les meilleurs spectacles enraillant le pas sur un cadastre de fond destiné à Kate Bush, entre autre !

Ses interviews déclarées façonnent sa personnalité et ses questionnements dans la parodie d’une spectaculaire envolée artistique ! L’enclave, s’il en fosse une n’est que le silence d’appel de voix aux élections politiques qu’elles soient locales ou nationales !

Signalons juste au passage qu’une introduction de se lire maintenant dans un livre écrit par ses mots et maux de carrière qui l’emporte tel le destin de chacun ou chacune !

Son préambule, l’art de la symphonie et de la mise en scène, lyrique, symphonique, vocale et étourdissant son public préparant son éclat de volupté à l’emporte pièce comme une couleuvre qui gobe un œuf ou une poule aux œufs d’or.

Ce chemin remonte le temps traversé à des années lumières !

Certes, ceci n’est que le regard de son intelligence artistique et cognitive. Voir le fil de l’actualité de Kate Bush, maintenant repentie musicale et générant un bien être musical, et illustrant et surtout le mérite d’une couverture de magazine à son effigie.

Seulement pour la voir sans se déplacer et lire sa carrière à sensation, et mélo maniaque et de transe-musicale !

L’introversion en réverbère à patins et roule galoche dans les salles de concerts obscurs et aux recoins dissimulés dans le noir, justifiant d’une bougie lors d’un échange furtif et embrassant la lumière qui jaillit du fond du cœur telle une apostrophe ouverte sur le vide !

Ce petit chantonnant à sa famille les airs musicaux de Kate Bush, nous focalise sur le terrain des derniers titres les plus connus dans la destinée musicale de Kate, ceci apparaît hilare dans un des clips, en entendant rire Kate Bush, tel un fou rire ensorcelé par une musique bien rythmée dans les sons de plus en plus succinctes etc.

Ce texte est une forme d’apothéose à Kate Bush, artiste de renommée, à lire, à découvrir, et encore plus à écouter dans des salles confinés par le brouillard de l’hiver hivernal.