Ce groupe appartenant au style et genre délabré et brumeux lors de leurs apparitions sur les scènes et tremplin musical !
Ce son ricanant de la vie dans des sons vibrants la peur, comme une traversée des catacombes assombrie par une seule torche d’explorateurs des temps modernes !
Comme une appartenance à la différence de la masse musicale, avec leurs chapeaux poussiéreux, comme le chanteur et le guitariste, ainsi que le batteur enjoué par ce son envoutant des cordes de la guitare et de la basse.
Leurs titres :
Moonchild, Endemoniada, nous verse dans les temps apocalyptique d’une névrose abasourdit par une ère maudite, comme si un mauvais sortilège venait leur mettre des dents de scies à leurs cordes de guitares et de basses !
Le naufrage idéaliste et un idylle pour certains fans, de ce groupe de musique gothique, répertorié inclassable selon le public qui piétonne devant l’entrée des salles de concerts, comme à L’Élysée Montmartre à Paris (salle de concert pop’art) dans les années 90 ! Ou le Gibus, à côté de la Place de la République, à Paris, où certains groupes ont performés, tels qu’Oberkampf, groupe parisien (banlieusard) et plein d’autres encore !
Ce n’est qu’après effet soporifique, et l’entrain des personnes conviées à cette soirée hors normalisation, quelque peu aparté de la vie quotidienne du bourlingueur à son taf (travail).
La rubrique Néo-gothique
Cette formation musicale apporte vraiment une touche en adéquation à une demande de postérité dans une véritable et une différence musicale !
Une sorte de solution à l’industrie musicale, à titre signé par album vendu.
Leurs performances et nombres de fans les soulèvent comme des grains de sables sur une plage musicale, les CD se vendent un par un ou par vague ou une lame de fond emportant tous les disques déjà pressés en studio d’enregistrement !
Leur façon de solariser leur musique avec leurs principaux tubes ou morceaux profanés comme une tombe de star à la Jim Morrison ou Jimmy Hendrix!
Ce n’est qu’après coup boire que l’on remonte sur scène ou pendant la pause, l’interlude fait son apogée.
Délirants et subtils !!!
Pour en revenir leur formation existe depuis maintenant des lustres à lustrer, comme aussi un stroboscope lumineux qui éclaire telle une chandelle en fin de nuitée. A la bougie, parfois se finissent leurs concerts, tel un adieu musico-spirituel !
L’envers de la veste de ce groupe flamboyant, c’est la dépendance à leur style et accoutrement vestimentaire, qui fait fort en unité et identité de la célèbre formation musicale et style du rarement vu jusqu’à maintenant !
Qu’en dira-t-on du Diable ?
Parfois le désordre mérite l’ordre dans les files d’attentes pour ceux qui n’ont pas réservés leurs tickets gagnants, ou n’étant pas sur la guest list.
Les journalistes et photographes accrédités, ainsi que certaines chaînes ou label pour la vidéo du concert, en questionnement à la vue de l’audience et de l’audimat. Après ces coups d’éclats sombres à caractères néo-psychédéliques dans l’approche artistique de mise en scéne sur les planches ou podium leurs servants que de support pour la prolongation de leur carrière musicale et visuelle, une image de marque Fields of the Nephilim !
L’âpre certitude d’être comblé et envouté, comme par un marabout qui pose ses valises dans chaque pays !
Sauf, que ce groupe Fields of the Nephilim ne croit en rien, si ce n’est qu’à leur réflexion à la providence !
Certes, ce n’est pas enjoué de les copier, car seulement leur copyright les appartient, ne serait-ce que le nom Fields of the Nephilim qui tire un trait en dessous de tous soupçons !
Bonne écoute de leurs titres les plus connus, ainsi qu’une bonne vision à leur image de marque musicale.